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Devoir d’affection et droit affectif



L’affection dans l’histoire de l’humanité.

Dans l'age d’une civilisation ses extrêmes se distinguent par l’abondance et le déclin de communion affective.
A l’image de la chute des grandes civilisations du passé.
La civilisation dominante actuelle se décompose. Se détruit dans des quêtes absurdes, égoïstes et narcissiques. Souffre de l’absence de générosité, d'hospitalité, de liens, de communion, de compassion, de partage.
Dénommés : amour, droit, liberté, égalité, fraternité, sexualité. Ses fondements sont illusoires, utopiques. Sa crédibilité inaccessible, irréaliste.
D’où son échec.


L’absence d’affection
Solitude. Individualisme. L’absence d’affection ronge la santé de tout être humain. Lui fait perdre l’envie de vivre.


L’affection parentale
Le déficit d’affection parentale est un cancer émotionnel. Une affection invalidante. Au pire mortelle.


La reconnaissance affective
L’absence de reconnaissance affective par des individus hors du cercle des proches construit en soi un sentiment d’indignité, d’inutilité personnelle, de désespoir moral. Prélude à la colère, à la haine, à la brutalité, à la criminalité .
Au choix d’une mort sociale ou physique.





Le devoir d’affection. Le droit au lien affectif



Créer. Procurer. Assurer à tous. Un contact. Une relation. Un environnement affectif chaleureux.
Tel est le secret de la réussite d’une civilisation humanocrate bienheureuse.
L’affection est un sentiment rassurant, sécurisant, dignifiant, valorisant, honorable.
L’affection est disponibilité, présence, écoute, regard, sourire, caresse, tendresse.
L’affection est assistance, soutien, encouragement, confiance.


Le Moteur Affectif
L’affection est le moteur de toutes les réussites. Dans tous les domaines.
Derrière la réussite de tout homme. L’affection d’une mère. D’une femme. D‘un autre.
Derrière le bonheur de toute femme. L’affection d’un enfant. D’un homme. D’une autre.
Derrière la joie d’un enfant, d’un adolescent l’affection d’un parent. D’un adulte. D’autrui.
Derrière un sourire digne, de respect, d’un inconnu, d'un proche. La récompense affective de la confiance, de la reconnaissance.


Le Socle Affectif
Malgré les cris, les disputes, les différences, les dissensions, les désordres, les personnalités, les erreurs.
Le lien affectif est le socle de tous les actes humains positifs. Humble, modeste, abondant dans les lieux de bien-être.
Il est, face au malheur, à l’injustice. Dans les difficultés, les vicissitudes. Un trésor inestimable, une bouée de survie.


Le Foyer Affectif Humanocrate
L’affection est le véhicule de l'altruisme, du respect, de la dignité, de la compréhension, de l’empathie, de l’oblativité, de la paix.
Les marques d’affection, un geste, une attention, un message silencieux, l’écoute attentive, une preuve de reconnaissance. La confiance d’un adulte, d’un proche, d’un inconnu . Le sourire, la joie d’un enfant. Là, réside le baume de tous les maux. L’élixir du bonheur. Le ferment de l’espoir. L’espoir de la paix des esprits et des actes.
Pour des individus liés entre eux, pas nécessairement par des liens de " sang " , mais surtout par la conscience du besoin et du don d'affection, de la nécessité du partage, de la solidarité . Conscients de la superficialité des apparences. De l'importance de la confiance, de l'honnêteté, de la dignité, du respect . Le foyer affectif humanocrate est un lieu recherché de bonheur, de joie, de vie, de mort, de tristesse, de citoyenneté.


Une civilisation humanocrate vénère le devoir et le droit d’affection entre ses membres.





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